Les faux repères
R.
20
:
Je
ne peux jouir qu'après Lazare ? Djanem, si tu retournes à cet
homme, je te pourrirai la vie. Te-Anaa est un homme, et ma Vieille
Maîtresse façon Barbey. Rudi, son amant actuel, se montre fragile
et prévenant. Je n'ai été "ni le premier, ni le dernier"
: ma foi si. Défense de porter son écharpe et sa cicatrice.
R.
21 :
Mon père et le rouleau de la machine à écrire. Ma justification de
voyeurisme devant Fleur-de-Pipe. Lazare est à goche ; "des
logements pour les Roms !"
R.22
: Trois mois pas plus pour un amour. Le
harnachement grotesque de C. F.
R.
23 :
“Tu ne connais rien aux femmes, rien aux hommes, rien à la vie”.
Lazare et moi nous séparons comme un fleuve à la fourche d'un
delta. Le colonel à table. . Celle
du baigneur : il
faut agir. La connerie de mon choix conjugal. Mon ingratitude
humaine.
R.
24 :
Fausse piste de la Salvadorienne. Je ne ris qu'avec toi. La fiancée
de Hölderlin. La fosse à radio garnie de filins.
Le coup de téléphone "pour épuiser un forfait" La
peluche à grosse tête.
Femme
de 40 ans égale homme de 60. La culpabilté de Djanem. Je me suis
toujours pris pour un écrivain. "Ils peuvent toujours venir me
chercher, avec leur Goncourt !"
R.
25 : J'apporte
à ta caisse des pâtisseries orientales. Le temps long désert. Il
suffirait queje connaisse toutes tes activités et leurs
localisations. Se revoir entraînerait une telle anxiété... Aucune
réflexion sur la société contemporaine. TOUT CE QUI FUT UNE FOIS
DEMEURE. Tu regardes le mur, et soudain cinq ans sont passés. Nils
pressent tout dans sa rusticité : "elle est amoureuse".
Les femmes disciplinent leurs pulsions.
Ce
que l'autre souhaite n'importe pas à l'amant. Rue
Hugla. Je ne peux plus désirer que cette femme. Enfin
tu peux faire l'amour de femme à femme. Se refuse un an.
R.
26
A
40 ans, elles désirent comme un homme à 60. Nous aurions dû
apprendre à "maîtriser nos pulsions" à travers les
siècles ! Quand les femmes auront commis autant de viols que les
hommes, nous pourrons parler. Lazare :"Tu as mangé ton pain
blanc. Désormais l'acte sexuel me répugne." La femme distille
le sperme et s'en nourrit. La beauté écrase la femme. Quand on a ce
sexe-là entre les jambes, on retombe toujours sur ses pattes. La
femme pousse l'homme vers les putes : où a disparu la solidarité
féminine ? Plus
un gros clito qu'une petite queue. On
se remet du viol, ne vous en déplaise. La femme est toujours
consciente de sa perfection, "parce que je le vaux bien".
"C'est plus facile pour moi si on ne ne va pas jusqu'au bout".
Je trouve cela ignoble ; elle est capable de tenir trente jours, tout
de même. "Nous pourrions rester côte à côte - Mais je ne
suis pas une sainte" – les deux râteliers. "Ils peuvent
toujours venir
me chercher, avec leur Goncourt !"
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