Rêves de con
vers
le 63 04 25
Je
rends visite à ma grand-mère paternelle, dans un bel appartement
urbain. Elle se montre à son avantage, avec de beaux restes pour une
femme hors d'âge. Elle reçoit maintes personnes et nous la quittons
enchantés. Ensuite, de retour à la même maison que dans d'autres
rêves. Le jour est levé mais les volets sont restés fermés, avec
la lumière visible de l'extérieur. Je suis avec Sonia et la prie de
ne pas répondre aux coups de sonnette ou dan sles volets. A la fin,
me rendant compte qu'on ne cessera pas le tapage, j'entrouvre des
volets et me trouve face à face avec un travailleur immigré arabe
ou indien, effaré. Je lui demande ce qu'il veut, "rien, rien"
répond-il en reculant, effaré.
Il
voulait peut-être simplement que je déplace ma voiture afin de
permettre le travail sur un chantier dans la rue devant chez moi.
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06 04
Rêve
où
je suis à trois reprises allongé avec ma mère sous forme d'énorme
bloc de viande grossièrement équarrie, frémissant mais peut-être
déjà mort, qui m'étouffe. Je hurle mais n'y parviens pas. La
dernière séquence me mène dans un vaste entrepôt garni de tables
et de meubles mal assemblés ou délabrés, une voix m'intime de me
repentir pour les crimes d'Auschwitz dont je ne suis pas tout à fait
innocent. Je hurle en vain.
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06 06
Toujours
ce rêve où je me trouve introduit dans mon nouveau poste, cherchant
mes salles et mes sections. Cet établissement est une luxurieuse
halle avec à l'intérieur de vastes structures métalliques
vert-jaune oxydés représentant des plantes, style Guimet. Je
m'exclame pour faire rire que cet établissement me plaît pour sa
propreté et son caractère neuf. Ensuite je me retrouve dans une
salle en boule où mes élèves, de troisième, en fait de costauds
Terminales des deux sexes, se glissent d'en bas avec difficulté. Je
serai bientôt asphyxié avec tous et mes cours ne pourront pas avoir
lieu…
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